Notre réhabilitation sur l'Ile Saint Louis
Récente réalisation de La Fabrique. Au cœur de L’Île St Louis situé dans le IVe arrondissement, cet ancien atelier a été complètement rénové et réhabilité avec le souci permanent de préserver le charme et l’âme du lieu.
L’utilisation de verrières et les ouvertures des perspectives assurent un éclairage naturel diffus. L’acier, qui soigneusement coordonné avec le bois et la pierre distillent joliment l'esprit de l'ère industrielle.
Sur l’île St Louis, les locaux en rez-de-chaussée sont très rarement vacants. Leur rareté témoigne d’une activité commerciale soutenue, et en particulier dans les îlots adjacents à la rue des deux Ponts, rue où se situe notre opération. Entre épiceries gastronomiques et édifices culturels, cet endroit regorge de splendeur. Bien qu’il s’agisse d’un quartier principalement résidentiel, calme et bourgeois, cet ancien atelier que La Fabrique a transformé en espace de bureaux n’a pas pour autant perdu son charme d’origine. À l’idée d’organiser des réunions, des rencontres professionnelles, dans un lieu convivial, chaleureux et facile d’accès tel que celui-ci dans un quartier chic et sublime de la capitale, les entreprises souhaitant se développer sont souvent interpellées par cette typologie de bien.
Réalisation :
Architecte Stéphane Tholance
Gestionnaire d’actifs Arnaud Richard
La mutation de l’atelier d’artiste en loft
De belles hauteurs sous plafond, de grandes ouvertures et d'incroyables surfaces mises en valeur par une lumière naturelle. Des sols en chêne, des murs en pierre, des verrières en acier. Intelligemment coordonnés, ces éléments s'harmonisent parfaitement avec le style brut et industriel du loft recherché par La Fabrique. Reconvertis en espaces de bureaux, ces usines, ateliers, entrepôts ont un point commun, ce sont des lieux chargés d’histoire.
Né aux États-Unis dans les années 70 d’une nécessité économique lors de la désindustrialisation des centres villes, le concept de loft renvoi aux artistes qui se sont emparés d'entrepôts, d’ateliers ou d’usines désaffectés pour en faire leurs habitations. Le concept a alors quitté Brooklyn, Soho ou Tribeca et s’est peu à peu exporté dans les capitales européennes. Arriver à Paris dans les années 90 pour culminer avec la crise immobilière, les lofts se trouvaient généralement dans les arrondissements plus ouvriers, artistiques et intellectuels du nord et de l’est de la capitale.
Se différenciant ainsi des autres biens par leur passé, ils séduisent alors de nombreux particuliers aujourd’hui. En effet, ces biens immobiliers atypiques qui plaisent pour leurs volumes XXL permettent d’exercer des activités professionnelles diverses. Les créatifs de tous bords, qu’ils soient graphistes, publicitaires, stylistes de mode ou encore dessinateurs sont encore ceux qui trouvent le plus souvent leur place au sein de ce type d’espaces. Ce sont effectivement des professions pour lesquels il faut envisager un investissement temporel et logistique de grande ampleur.
Actuellement, les lofts parisiens tels qu’ils sont rénovés par La Fabrique restent des biens rares et haut de gamme sur le marché de l’immobilier, et sont très prisés. En effet, ces espaces atypiques attirent plus que jamais des entreprises désireuses d’exercer dans des volumes généreux, ouverts et lumineux.