De belles hauteurs sous plafond, de grandes ouvertures et d’incroyables surfaces mises en valeur par une lumière naturelle. Des sols en chêne, des murs en pierre, des verrières en acier. Intelligemment coordonnés, ces éléments s’harmonisent parfaitement avec le style brut et industriel du loft recherché par La Fabrique. Reconvertis en espaces de bureaux, ces usines, ateliers, entrepôts ont un point commun, ce sont des lieux chargés d’histoire.

Né aux États-Unis dans les années 70 d’une nécessité économique lors de la désindustrialisation des centres villes, le concept de loft renvoi aux artistes qui se sont emparés d’entrepôts, d’ateliers ou d’usines désaffectés pour en faire leurs habitations. Le concept a alors quitté Brooklyn, Soho ou Tribeca et s’est peu à peu exporté dans les capitales européennes. Arriver à Paris dans les années 90 pour culminer avec la crise immobilière, les lofts se trouvaient généralement dans les arrondissements plus ouvriers, artistiques et intellectuels du nord et de l’est de la capitale.

Se différenciant ainsi des autres biens par leur passé, ils séduisent alors de nombreux particuliers aujourd’hui. En effet, ces biens immobiliers atypiques qui plaisent pour leurs volumes XXL permettent d’exercer des activités professionnelles diverses. Les créatifs de tous bords, qu’ils soient graphistes, publicitaires, stylistes de mode ou encore dessinateurs sont encore ceux qui trouvent le plus souvent leur place au sein de ce type d’espaces. Ce sont effectivement des professions pour lesquels il faut envisager un investissement temporel et logistique de grande ampleur.

Actuellement, les lofts parisiens tels qu’ils sont rénovés par La Fabrique restent des biens rares et haut de gamme sur le marché de l’immobilier, et sont très prisés. En effet, ces espaces atypiques attirent plus que jamais des entreprises désireuses d’exercer dans des volumes généreux, ouverts et lumineux.